Partir de chaque talent,
voir loin . . .

Rue de la Station 2 6820 FLORENVILLE
061 31 12 18
L’Institut Sainte-Anne propose un enseignement secondaire général et accueille chaque élève dans sa globalité, l’accompagne dans ses projets personnels et offre une formation de qualité.
Notre école en 12 points :
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Accueillir le jeune tel qu’il est et faire émerger ses propres talents
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Rendre l’élève acteur et auteur de ses apprentissages
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Se tromper pour avancer
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Offrir un ‘espace-temps’ de travail avec un encadrement professionnel
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Rire, échanger, partager, coopérer, créer des liens d’amitié
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Prendre part aux décisions, s’engager, développer son esprit critique
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S’ouvrir au monde, ouvrir l’école sur le monde
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Oser, créer, innover
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Ouvrir ses sens et déployer toutes ses formes d’intelligence
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Eduquer à la santé, au développement durable, à la citoyenneté, à la culture …
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Entrer dans le numérique, inventer les métiers de demain
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Développer sa vie intérieure, devenir qui tu es

Notre école en images













Le restaurant scolaire
Nous souhaitons que le restaurant scolaire soit un lieu privilégié où l’on apprend à consommer des repas de qualité. Cela signifie que nous travaillons essentiellement avec des produits frais et de qualité provenant de circuits courts.
Chaque jour, des sandwiches divers sont proposés.
Des potages maison nourrissants, des assiettes froides ou encore des pâtes ‘sauce maison’ vous sont servis. Les prix varient de 1 à 3,50 €
L'histoire de l'école
L’Institut Sainte-Anne est implanté au coeur de la cité depuis plus de cent ans. Lorsque les Soeurs de la Providence de Saint André de Peltre (Metz) sont arrivées à Florenville (1846) pour assurer, tout d’abord des cours à l’école primaire et ensuite pour fonder une école ménagère (1889), auraient-elles pu penser que leur initiative d’éducation et de formation serait toujours poursuivie un siècle et demi plus tard ?
Une école sous la tutelle de la Congrégation des
Soeurs de la Providence de Saint-André de Peltre (France)
L'Abbé Gapp prêtre du diocèse de Metz, découvre la misère des campagnes lorraines après la Révolution. Persuadé que l'éducation des filles ouvre les portes sur un avenir constructif, ce fils de maçon commence à chercher les pierres vivantes qui serviront à édifier l'Institut religieux qu'il désire fonder un jour.
Sa piété sereine s'appuie sur la conviction que Dieu vient au secours de l'homme par sa Providence et lui donne la force d'aller de l'avant. Son attitude spirituelle se traduit par une confiance filiale et un abandon plein d'humilité envers la divine Providence son étoile, son guide, son refuge. La prière développe en lui une foi inébranlable; elle accompagne toutes ses oeuvres. Il ouvre alors, à Hotviller, une école pour l'instruction et l'éducation des filles, tenue par Catherine Motsch et Elisabeth Ledig par lesquelles commence le 19 novembre 1806 la Congrégation des Soeurs de la Providence de Saint-André.


